Minutes du tribunal par la greffière

Catégories : REEL FESSESTIVITES
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il y a 13 ans

La séance est ouverte à 16h39.

Accusée Déborah : Le juge fait état des fautes commises par l'accusée, à savoir : aucune publication sur fessestivités.com à ce jour.

Le procureur demande une peine de fessée collective.

Sans même écouter la plaidoierie de l'avocate de la défense (soumise Carole), le juge pronnonce la sentence : « L'accusée ayant plaidé coupable, elle sera soumise à une fessée collective, assortie de pony. Elle est également invitée à méditer sur ses fautes sous les coups de fouet de Monsieur TSM puis à réparer les dommages en publiant au plus vite le texte demandé. »

Accusée Clochette : Le juge fait état des fautes commises par l'accusée, à savoir : oubli de plug et de tablier de soubrette, tarde à publier sur fessestivités.com, cache son regard à son Maître, sourit sans vergogne et met une culotte pour aller chez le médecin.

L'avocate de la défense (Marina) invoque le fait que les membres du jury ne savent pas ce que c'est que d'avoir un rosebud dans le cul. De plus, elle argue du fait que le Maitre de l'accusée est trop radin pour offrir une machine à laver ou un tablier supplémentaire. Toujours selon l'avocate de la défense, l'accusée est obligée de mettre une culotte pour aller chez le médecin parce que cela lui permet de justifier son besoin d'avoir une machine à laver. D'ailleurs, elle est obligée de l'enlever là bas, donc ça ne compte pas vraiment. Pour finir, l'accusée plaide coupable de non publication sur fessestivités.com, et justifie sa faute : « Je ne sais pas écrire »

Circonstances aggravantes : Se moque des jurés et manque de respect à la cours. Circonstances atténuantes : Ne sait pas écrire

Le juge décide de retenir les peines demandées par le procureur : exposition publique au pilori avec un plug, 20 coups de cannes, servir de porte cacahuète pendant le repas et autobranlette. La première peine est éxécutée sur le champs sous les yeux mi inquiets mi envieux des autres accusés.

Accusé Sacherme : Le juge fait état des fautes commises par l'accusé, à savoir : tient tête à Maître TSM, a fait faux bond 2 fois à Maîtresse Miraë et la laisse faire ses pieds elle-même.

Etant donné la nature de la faute, le juge décide que l'accusé devra lécher les pieds de Maîtresse Miraë pendant le jugement.

L'avocate de la défense (Alexandra), faisant remarquer aux jurés que « ce brave Sacherme n'est pas un DSK en puissance », demande un allègement des accusations : compter une seule absence sur les deux.

Le juge prononce la sentence : Lit de fer, fouet, tour du parc en chien avec obligation d'uriner en levant la patte, être attaché à un arbre avec l'anus godé.

Alexandra, révoltée par cette sentence, s'exclame : « Vous devez être atteint de la maladie d'Alzheimer ! ». Cette inacceptable remarque est notée pour plus tard.

Pendant la mise à éxécution immédiate de la première peine, Alexandra faillote à mort afin de se faire pardonner, et apporte à boire aux membres de la cours.

Accusée Carole Le juge fait état des fautes commises par l'accusée, à savoir : Défait de tenue et de maquillage, non respect des consignes et épilation douteuse.

La cours demande à l'avocat de la défense Thierry de plaider en anglais. Devant le silence de l'avocat qui « ne sait pas quoi dire », le procureur propose : Exposition au pilori, fessée, martinet, promenade en sulky, pipe et saillie en public.

Un membre du jury propose la vérification concernant l'épilation. Que ce soit à la vue, au toucher, ou au goût, aucun poil n'est détecté sur la chatte de l'accusée.

Le juge prononce la sentence : Toutes les peines proposées sont retenues, l'exposition au pilori est éxécutée immédiatement et l'avocat est jugé en tenue idéal pour accompagner l'accusée au sulky.

Accusé Anthony : Le juge fait état des fautes commises par l'accusé, à savoir : Manque de respect dans un email plein de fautes et language SMS, courrier en paquet sans ponctuation et sans majuscule, terminé par « je vous bise » Circonstances aggravantes : Port d'un caleçon Jules et de tongs ; Jette négligeament ses chaussures ; Oublie de sucer son pouce.

L'avocate de la défense (Déborah) plaide la folie et le prouve d'après la tenue de l'accusé. De plus, le vice de procédure est invoqué (boisson enivrante dans le tribunal) . La défense demande donc l'acquittement et enfermement dans un milieu spécialisé.

Le juge prononce la sentence : Méditation au pilori, fessée par 2 Maîtresses, jouir dans une assiette et déguster le contenu, stage de régression, port de la couche la nuit, vi olet wand et pose immédiate d'une cage de chasteté.

Accusée Kim : Le juge fait état des fautes commises par l'accusée, à savoir : Jette ses mégots sur la pelouse, chaussures inadéquates, cache son joli accent et coupe des morceaux de gâteau trop gros. Circonstances agravantes : Porte une culotte et n'a pas les mains dans le dos.

L'avocat de la défense (Thierry) met en avant la gourmandise pour les gâteaux et la timidité de l'accusée.

Le juge prononce la sentence : Dressage pony, faire le tour des Maîtres et Maîtresses pour réclamer une fessée et être exhibée.

Accusée Siham : Le juge fait état des fautes commises par l'accusée, à savoir : Crime de lèse-majesté, mauvaise gestion des affaires publiques, hérésie, manque d'humilité, rébellion, cachoteries, mensonges. Circonstances agravantes : Récidiviste ; Tire la langue au procureur.

L'avocate de la défense (Clochette) trouve les peines trop lourdes, ce qui n'empêche pas le juge de prononcer la sentence : Martinet, caresser les seins d'une Maîtresse, coups de canne, écartelée par 3 pony, manger dans une gamelle, vi olet wand.

Accusé Thierry : Le juge fait état des fautes commises par l'accusée, à savoir : Parle trop, coupe la parole, n'a pas créé sa fiche sur fessestivités.com.

L'avocat de la défense (Anthony) ne semble pas bien maitriser sa plaidoierie.

Le juge prononce la sentence : Fessée collective, pilori, martinet collectif, canne, houla houps et nuitée enfermée. Le houla houps a été éxécuté immédiatement, ce qui donna lieu à une assez piètre prestation. Accusée Alexandra : Le juge fait état des fautes commises par l'accusée, à savoir : Commentaires désobligeants au sujet de la couleur de peau de Maîtresse Miraë, conspire avec ses copines soumises Marina et Siham.

L'avocate de la défense (Marina) ne peut « défendre l'indéfendable », le juge prononce donc la sentence maximale : Cage de chasteté, 50 coups de fouet, baillon et fessée collective.

L'accusée plaide coupable, ce qui lui vaut une remise de peine : 49 coups au lieu de 50.

Accusée Marina : Le juge fait état des fautes commises par l'accusée, à savoir : Désobéis, fait répéter les consignes, bavarde, ramène sa fraise, provoque, dit qu'elle n'est pas maso alors qu'elle donne toujours des batons pour se faire battre. Circonstances agravantes : Critique le travail de la greffière.

En l'absence d'avocat, le juge prononce la sentence : Baillon, menottes pieds et mains dans le soumilier, coups de martinet, cage de chasteté.

La dernière peine a été appliquée immédiatement.

La séance est levée à 18h25

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